Amélie Cousineau dans son studio
Quand j’ai gradué en 2004 du Cégep du Vieux Montréal, il me fallait un studio pour exercer mon métier à temps partiel. Évidemment, comme toute étudiante qui se respecte, j’avais quelques dettes et devais m’en débarrasser avant de me lancer à temps plein dans la photo. Je me suis donc installé à l’Île Perrot, tout près de chez moi pour faire des sessions de photo les soirs et les fins de semaines. À l’époque, mon père me prêtait une partie de sa salle de conférence à son bureau.
À chaque séance, je devais monter et démonter mon équipement pour laisser la place vide en quittant. Je dois avouer que c’était l’enfer. Imaginez! Monter/démonter background, flash sur pied, softbox, filages, accessoires… C’était beaucoup de travail sans compter les changements de background lorsque mes clients étaient en studio. Tout était plus long.
Avec les années j’ai commencé à envahir l’espace et mon père s’est résigné à ’’fermer’’ son espace conférence pour me la léguer… YÉ!!
Cela fait maintenant 3 ans que je suis à mon compte à temps plein dans le même studio mais ô combien mieux aménagé.
Amélie travaillant dans son studio
